CIFOR-ICRAF s’attaque aux défis et aux opportunités locales tout en apportant des solutions aux problèmes mondiaux concernant les forêts, les paysages, les populations et la planète.

Nous fournissons des preuves et des solutions concrètes pour transformer l’utilisation des terres et la production alimentaire : conserver et restaurer les écosystèmes, répondre aux crises mondiales du climat, de la malnutrition, de la biodiversité et de la désertification. En bref, nous améliorons la vie des populations.

CIFOR-ICRAF publie chaque année plus de 750 publications sur l’agroforesterie, les forêts et le changement climatique, la restauration des paysages, les droits, la politique forestière et bien d’autres sujets encore, et ce dans plusieurs langues. .

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Nous fournissons des preuves et des solutions concrètes pour transformer l’utilisation des terres et la production alimentaire : conserver et restaurer les écosystèmes, répondre aux crises mondiales du climat, de la malnutrition, de la biodiversité et de la désertification. En bref, nous améliorons la vie des populations.

CIFOR–ICRAF publishes over 750 publications every year on agroforestry, forests and climate change, landscape restoration, rights, forest policy and much more – in multiple languages.

CIFOR–ICRAF addresses local challenges and opportunities while providing solutions to global problems for forests, landscapes, people and the planet.

We deliver actionable evidence and solutions to transform how land is used and how food is produced: conserving and restoring ecosystems, responding to the global climate, malnutrition, biodiversity and desertification crises. In short, improving people’s lives.

Effet de la conversion des forêts secondaires en terres agricoles sur les flux de gaz à effet de serre (CO2, CH4, N2O) à l’interface sol - atmosphère dans les marges forestières du bassin du Congo: cas de la localité d’Ayos

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Malgré l’importance qu’à l’agriculture dans la déforestation et la dégradation forestière dans le bassin du Congo, des données manquent cruellement sur les implications de ces changements sur les flux de Gaz à effet de serre. Ces informations sont pourtant utiles pour le Cameroun qui comme d’autres pays se sont engagés dans le processus REDD+, et doivent dans le cadre du MRV, donner des informations régulières sur les émissions de GES liées aux activités qui ont cours dans leur territoire lors des communications nationales et les rapports biannuels d’actualisation. L’objectif principal de cette étude est de contribuer à la lutte contre les changements climatiques à travers la détermination de l’impact de la conversion des forêts secondaires en terres agricoles sur les flux de GES à l’interface sol - atmosphère. A l’aide de la technique des chambres statiques, nous avons mesuré pendant six mois les flux de GES dans trois types d’utilisation des terres à savoir la forêt secondaire, la cacaoyère et le champ de cultures annuelles. Les analyses montrent que les flux de N2O dans les différents TUT sont corrélés négativement à l’azote minérale, indiquant que la variation de celle-ci n’a pas d’influence sur les flux. La variabilité saisonnière a eu un impact sur les flux de GES dans les TUT, avec des émissions de CO2 et de N2O plus importantes pendant la saison des pluies ; les absorptions de méthane au contraire ont été plus importantes en saison sèche. Tout ceci suggère l’importance de la teneur en eau du sol dans la production et l’émission des GES.
    Année de publication

    2015

    Auteurs

    Kwatcho Kengdo, S.

    Langue

    French

    Mots clés

    deforestation, degradation, climate change, greenhouse gases, emissions, secondary forests

    Géographique

    Cameroon

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